Immobilier : La demande de logement en croissance

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La récession économique fait des ravages n’épargnant aucun secteur d’activité. Cependant depuis ces dernières années, les chiffres se sont envolés en termes d’immobilier.

Augmentation rapide de la demande

Il est constaté que des signes d’amélioration se présentent sur le marché immobilier. Dans la plupart des villes Françaises, le nombre d’acquéreurs de bien immobilier s’est amplifié de manière considérable. Les prix qui baissent continuellement presque partout résultent l’accroissement de la demande de logement. Dans les grandes villes françaises, les habitants retrouvent l’envie d’investir dans la pierre.
Pour la première fois depuis 2001, une hausse de la demande dans les lieux a été remarquée. Le rapport entre le nombre d’acheteurs et le nombre de vendeurs indique de ce fait une hausse. L’indicateur rend manifeste une « augmentation rapide » dans de nombreuses villes. Néanmoins, dans les zones rurales, la demande de logement reste stagnante pour ne pas dire faible. Outre, aucune ville n’affiche aujourd’hui la norme en demande, dont 2 acheteurs pour 1 vendeur.

Situation contrastée dans les grandes villes

Cette année, de baisses échelonnées entre 0 à 5 % sur l’ensemble du territoire sont prévus. Un contraste remarqué surtout à Paris, le recul y est mesuré en fait à 10,3 % en moyenne depuis le plus haut constaté en 2011. Si en juillet 2011 il est indiqué que le prix moyen est de 8640 euros, le mètre carré se négocie en ce moment à 7750 euros. La situation immobilière parisienne reste très contrastée en fonction des arrondissements. Sur le 20e arrondissement, une baisse de 4,1% a été observée tandis que le 1er a observé ses prix accroitre de 2,4% depuis le premier semestre. L’encadrement des loyers impacte les prix sur le marché immobilier. Vu la baisse brute de la rentabilité locative, de nombreux acheteurs de la capitale pourraient continuellement déserter le marché. Dès lors, une baisse prolongée des prix est attendue. Avec cette baisse continuelle du prix, il serait judicieux d’en profiter en achetant une maison à vendre Arles.

Les prévisions sur le changement de cycle

Il est prévu que cette tendance pourrait toucher d’ici peu d’autres villes. L’amélioration de la demande laisse entrevoir un retournement du cycle qui pourrait mettre fin à la baisse des prix. Toutefois, le changement de cycle pourrait prendre du temps, il pourrait s’étaler sur plusieurs mois entre 12 à 18 mois compte tenu de l’hétérogénéité du marché. Les zones qui sont moins attractives nécessiteront davantage plus de temps, en outre, les aléas économiques et les décisions politiques pourraient engendrer une reprise précaire concernant ce changement de cycle. En attendant, les prix continuent de diminuer dans la plupart des villes, une belle occasion pour acquérir un appartement à vendre Arles, à Lyon, à Nice, à Strasbourg ou encore à Lille ou vous pourriez également effectuer une colocation Lille.